Brest 1954. Détruite pendant la guerre, la ville a reloge sa population ouvrière dans des baraques en bois construites dans le quartier du
Bouguen. Jérôme Félix, auteur de la bande dessinée sur Brest, qui doit paraître septembre 2012. Une fiction sur la tragédie de l’océan Liberty. Et partiellement sur la vie en baraques, et brièvement sur Brest. Edition Bamboo
Brest 1954. Détruite pendant la guerre, la ville a relogé sa population ouvrière dans des baraques en bois construites dans le quartier du Bouguen.
Jérôme Félix, auteur de la bande dessinée sur Brest, qui doit paraître septembre 2012. Une fiction sur la tragédie de l’océan Liberty. Et partiellement sur la vie en baraques, et brièvement sur Brest. Edition Bamboo
Brest 1954. Détruite pendant la guerre, la ville a reloge sa population ouvrière dans des baraques en bois construites dans le quartier du Bouguen. Jérôme Félix, auteur de la bande dessinée sur Brest, qui doit paraître septembre 2012. Une fiction sur la tragédie de l’océan Liberty. Et partiellement sur la vie en baraques, et brièvement sur Brest. Edition Bamboo
Traon-Quizac et Kerédern
BONJOURS AUX ANCIENS DES BARAQUES
Que de souvenirs à partager avec vous. Je suis arrivée en 1947 à Kerédern et je suis restée jusque 1963.
J’étais à l’école de Traon-Quizac la directrice, mademoiselle Berthe Pennec, avait un tour d’œil. C’est elle qui nous a beaucoup rendu service lorsque mon père a été tué en Indochine. Mes autres instites, madame Bervas, Sévert (qui portait bien son nom) nous mettait le cahier au dos et nous fessait devant les autres élèves. Il y avait aussi (...)
Souvenirs de Kerédern
Bonjour,
J’ai retrouvé une photo de KEREDERN. Je revenais d’avoir acheté du sucre aux "DOCKS de l’OUEST" quand cette photo a été prise. C’était une baraque commerciale, donc double. Dans l’autre partie se trouvait un café, (on dit un bar aujourd’hui ). Il était tenu par "Marie" (Je crois quelle était vieille fille). Sur les marches se trouvent : son ami "petit Jean", ensuite "Yvon Croq", dit le poète (Je ne reconnais pas l’autre personne). Contre le mur "Jeannine Premel" du bois (...)